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Using OKRs to Increase Organizational Learning
This is a draft chapter from the second edition of Radical Focus. It’s coming… eventually. Hopefully soonish. Leave your wishlist for other topics you’d like it to cover, and enjoy the sneak peek!
OKRs, when done with the Radical Focus approach, are designed to create faster organization learning. To explain why, let me give you just a smidgen of learning theory from John Dewey. I promise it won’t hurt.
There are at least three ways to learn, what I’ll call instruction, action, and reflection. All three are important, but the most important is the least practiced: reflection.
Instruction Instruction is what we think when we think of teaching. Organizational leaders hire some outside person to give a talk or a series of talks about a topic. Udacity delivers online lectures. Or you buy a book on the topic! Instruction is when someone stands in front of you and talks at you, and while that has its uses, instruction is the weakest approach to education by far.
Action The second educati..
Taking Risks, Earning Trust and Including Co-Workers: User-Centred Design at Deutsche Bahn Operations
In 2016, Andreas Bürgler heard the term “design thinking” being tossed around left and right. “There was a lot of discussion about design thinking, everybody used it as a buzzword, and I felt that few people really knew what it actually meant. I saw some charts, but that was too little for me. I wanted to really learn it myself.” During a three-day Open Course in design thinking at the HPI Academy with Katrin Lütkemöller-Shaw, he realised that this way of user-centred working inspired his “mind and heart”: “This was my thing: to work on topics that are interesting for the users and help them. To build a prototype quickly, and to learn what fits and doesn’t fit immediately.” At the same time, interviewing real users came as an unusual experience: “Having this direct, immediate contact with the user was a challenge”, Bürgler says, and adds with a smile: “You are suddenly talking to the customer – alert!”
The Need to Innovate Topics of disruptive innovation have already become central un..
Feeling in Control: Bank of America Helps Customers to “Keep the Change”
The bank hoped to bring a human-centered angle to an industry which is hardly known for innovation. They were especially interested in the customer segment of boomer-age women with children. To conduct the ethnographic research, a team of five BoA employees partnered up with four agency designers. In their user research, the group conducted interviews and observed families in Atlanta, Baltimore, and San Francisco. According to IDEO designer Sally Madsen, the team was “talking to people who were great at saving, and people who struggled with it, taking inspiration from some of the existing, every-day habits people have around savings“. They observed a dozen families, and followed mothers around when they went shopping or dining. Soon, they realized an interesting pattern: In many families, mothers were in charge of managing finances. An extreme group in this pattern turned out to be single mothers: They are often on a tight budget and have to keep track of their spending meticulously.
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Beth Comstock: The Future is for Creatives
Beth Comstock wrote Imagine It Forward for one pressing reason. “We need more people in our organizations who are leading with imagination,” she says.
It’s a call to action any creative can agree with. As the machine mind squeezes imagination out of our organizations, we’ve all got to partake in a creative revolution. “The future depends on it,” says Comstock.
Imagine It Forward is about more than navigating organizational change. Comstock shares her personal career story, as she rises from leading NBC’s corporate communications department to becoming GE’s Chief Marketing Officer, then, ultimately, GE’s Vice Chair. One theme throughout is Comstock’s “job crafting”—taking on new responsibilities in current roles that paved the way for her to take on the next role. “I’ve done it in almost every job I’ve had because I am curious,” she says. “My best example is when I went into marketing at GE.”
At GE then, marketing was seen as what you do at the end of a product cycle. “A group of us ..
Du consentement en ses limites
La spécialiste des sciences de l’information Helen Nissenbaum (@hnissenbaum) livre une longue interview pour la Harvard Business Review sur la difficulté du consentement en ligne. Trop souvent, la mise en pratique du consentement est « minable », explique la chercheuse, en prenant pour exemple les bandeaux de cookies que nous devons accepter en allant sur la plupart des sites. Comme les conditions générales d’utilisation, on accepte les cookies, sans avoir aucune idée de ce à quoi on consent. D’ailleurs, le plus souvent ces bandeaux ne laissent pas vraiment le choix. Pour elle, nous sommes actuellement coincés dans une « farce du consentement » qui maintient les utilisateurs dans une fausse impression de contrôle.
Or, toutes les modalités de choix qui sont mis à notre disposition en ligne ne relèvent pas vraiment du consentement, explique-t-elle. Et la chercheuse de prendre un exemple simple : quand vous acceptez de donner votre adresse ou votre code postal, à quoi consentez-vous ? C..
Demain, tous nos gadgets répondront-ils à la voix ?
Amazon vient d’annoncer étendre sa gamme de produits d’assistants vocaux… rapporte 01net comme LeMonde.fr, parmi lesquels on trouve notamment un appareil pour la voiture ou une prise électrique qui se commande à la voix ou via l’application Alexa. Amazon a également dévoilé une série d’amélioration à son interface vocale lui permettant par exemple de murmurer ou de tenir des conversations. Mais surtout, souligne le Wall Street Journal, Amazon a lancé une puce électronique à destination des fabricants d’électroniques pour rendre compatible n’importe quel appareil à la commande vocale : machine à café, ventilateur, horloge, four ou amplificateur… Le but : inviter les fabricants à intégrer la commande vocale pour faire d’Alexa le système d’exploitation vocal de la maison.
La puce d’Amazon pourrait offrir une solution à une industrie domotique qui est toujours restée à la peine en matière d’OS, de standardisation, d’interopérabilité, de services, d’interfaces… Reste que ces commandes voc..
Et si la régulation de la question attentionnelle n’était pas là où l’on croit ?
Dans Les marchands d’attention (The Attention Merchants, 2017, Atlantic Books, non traduit), le professeur de droit, spécialiste des réseaux et de la régulation des médias, Tim Wu (@superwuster), 10 ans après avoir raconté l’histoire des télécommunications et du développement d’internet dans The Master Switch (où il expliquait la tendance de l’industrie à créer des empires et le risque des industries de la technologie à aller dans le même sens), raconte, sur 400 pages, l’histoire de l’industrialisation des médias américains et de la publicité de la fin du XIXe siècle à aujourd’hui. En passant d’une innovation médiatique l’autre, des journaux à la radio, de la télé à l’internet, Wu tisse une très informée histoire du rapport de l’exploitation commerciale de l’information et du divertissement. Une histoire de l’industrialisation des médias américains qui se concentre beaucoup sur leurs innovations et leurs modèles d’affaires, c’est-à-dire qui s’attarde à montrer comment notre attention a..
La guerre mémétique aura bien lieu
Après des années de silence, R.U Sirius, alias Ken Goffman, a relancé sur le web sa revue séminale, Mondo 2000 (@2000_mondo), qui fit les beaux jours de la première cyberculture. Un post de ce blog collaboratif nous faire découvrir un document de 44 pages publié par l’Institut pour le Futur (IFTF), biology of disinformation (.pdf), qui aborde le problème de la « guerre mémétique » et des fake news. R.U Sirius en a profité pour interviewer assez longuement les trois auteurs de ce papier.
L’un d’entre eux, Jake Dunagan, est chercheur à l’IFTF, les deux autres collaborateurs sont bien connus dans les milieux de la contre-cyberculture… David Pescovitz, lui aussi chercheur à l’IFTF, est un des auteurs de Boing Boing, l’un des plus célèbres (et des plus anciens, et des meilleurs) blogs culturels. Le troisième, c’est Douglas Rushkoff (Wikipedia, @rushkoff), lui aussi vieux routier de la cyberculture, qui commença à traiter le sujet dès les années 90, et dont le livre « Media Virus ! Hidden..
Concrètement, comment rendre les algorithmes responsables et équitables ?
Face aux multiples biais inscrits dans la production même des données utilisées par les algorithmes et les outils d’apprentissage automatisés, le risque, rappelle la chercheuse Kate Crawford (@katecrowford), co-fondatrice de l’AI Now Institute (@AINowInstitute), est que « plutôt que de concevoir des systèmes censés résoudre les problèmes, nous les exacerbions ». La question à laquelle sont confrontés les ingénieurs consiste à trouver les modalités pour rendre les systèmes techniques plus responsables, plus équitables. Les initiatives en ce sens se multiplient : en mai, le conseil municipal de New York, sous la responsabilité de Carmelyn Malalis, responsable de la Commission sur les droits de l’homme de la ville, a adopté un projet de loi et lancé un groupe de travail sur les biais algorithmiques, rapporte Nature en évoquant également les promesses du président français de rendre le code des algorithmes publics ouvert, ou les appels du gouvernement britannique à rendre les données utili..
La méditation en question
On sait tous que de nombreuses entreprises de la Silicon Valley offrent des séances de méditation à leurs employés pour les aider à tenir le choc dans l’environnement complexe et stressant qu’ils doivent gérer. Mais ce n’est peut-être pas une bonne idée… Pour Kathleen Vohs, professeur de marketing à l’université du Minnesota, et Andrew C. Hafenbrack (@andyhafenbrack), professeur de comportement organisationnel à l’école de business et économie Catolica-Lisbon, la méditation de type « mindfulness » (pleine conscience) aurait au contraire pour mauvaise conséquence d’abaisser le niveau de motivation des employés. Ils ont publié leurs recherches dans le Journal of Organizational Behavior and Human Decision Processes et les ont résumées dans un article pour le New York Times.
L’équipe a procédé à une série d’expériences de structure classique, impliquant trois groupes, l’un de pratiquants de la méditation, un second qui devait laisser ses pensées vagabonder et un troisième dont les membre..