Tag / robot
Demain, tous nos gadgets répondront-ils à la voix ?
Amazon vient d’annoncer étendre sa gamme de produits d’assistants vocaux… rapporte 01net comme LeMonde.fr, parmi lesquels on trouve notamment un appareil pour la voiture ou une prise électrique qui se commande à la voix ou via l’application Alexa. Amazon a également dévoilé une série d’amélioration à son interface vocale lui permettant par exemple de murmurer ou de tenir des conversations. Mais surtout, souligne le Wall Street Journal, Amazon a lancé une puce électronique à destination des fabricants d’électroniques pour rendre compatible n’importe quel appareil à la commande vocale : machine à café, ventilateur, horloge, four ou amplificateur… Le but : inviter les fabricants à intégrer la commande vocale pour faire d’Alexa le système d’exploitation vocal de la maison.
La puce d’Amazon pourrait offrir une solution à une industrie domotique qui est toujours restée à la peine en matière d’OS, de standardisation, d’interopérabilité, de services, d’interfaces… Reste que ces commandes voc..
Vers une science de la causalité
Depuis l’invention des statistiques, la science ne cherche plus à se prononcer sur la notion de causalité. Corrélation n’étant pas causalité, les statisticiens se refusent à porter un jugement sur quel phénomène « cause » tel autre. La causalité n’est que la forme extrême de la corrélation, autrement dit, ce qui se passe quand une corrélation atteint 100 % de succès.
Pourtant, nous explique Judea Pearl (Wikipédia, @yudapearl), dans son livre The Book of Why (Basic Books, 2018 non traduit), écrit en collaboration avec Dana Mackenzie, il nous faut une science de la causalité ! Celle-ci existe déjà, elle s’est développée tout au long du XXe siècle, mais très discrètement. Selon Pearl, elle est un élément indispensable à notre compréhension du monde. Notamment, dans le domaine de l’intelligence artificielle, ce n’est que lorsqu’une parfaite compréhension de la notion de causalité sera atteinte que nous pourrons créer des machines véritablement intelligentes.
Judea Pearl n’est pas un pe..
Why the discovery phase is the most important web design step
The discovery phase in web design can help you create products and services that your users really need. Here’s why you need to take it seriouslyCreating websites that people want to use requires an intense amount of research. To truly understand the people who will be using your products and services is the main current of user experience design.
Oriol Beda quipped in UX Collective that “research is still seen as a magic wand that is only waved when problems arise”.
If you don’t know who your audience is, how can you ever expect to design something suited to their wants and needs? The answer is you won’t. You’ll end up with a half-baked product that nobody will want to use. For a better design process, research should be a primary tool for answering problems and not a fall back for when things go awry.
So, what steps can UX/UI designers take to ensure that they’re creating successful work? When it comes to web design, one of the most important steps is the discovery phase.
In this pos..
Social Conscience and Convergence at the IA Summit
Editor’s Note: The IA Summit is three weeks away. Register today using our special discount code uxbooth. Last week we highlighted co-chair Nathaniel Davis’ take on the 2018 IA Summit theme, convergence. Today we have a different view from co-chair Coco Chalfant.
As we considered the theme for IAS18, I kept coming back to the thought of how our lives and social interactions have changed over the last two decades. It’s possible that the convergence of technology, human activity, and societal norms is affecting our physical and social behaviors. And as information architects, we have the responsibility and skills to affect positive change in society with our designs.
Changes in Social Behaviors The advent of social media and how humans access, process, and transmit ideas with each other has changed dramatically in the last 20 years. Sharing information with a best friend, in the 1990’s, meant using a traditional landline telephone to place a call and hoping that they were available to..
Social Conscious and Convergence at the IA Summit
Editor’s Note: The IA Summit is three weeks away. Register today using our special discount code uxbooth. Last week we highlighted co-chair Nathaniel Davis’ take on the 2018 IA Summit theme, convergence. Today we have a different view from co-chair Coco Chalfant.
As we considered the theme for IAS18, I kept coming back to the thought of how our lives and social interactions have changed over the last two decades. It’s possible that the convergence of technology, human activity, and societal norms is affecting our physical and social behaviors. And as information architects, we have the responsibility and skills to affect positive change in society with our designs.
Changes in Social Behaviors The advent of social media and how humans access, process, and transmit ideas with each other has changed dramatically in the last 20 years. Sharing information with a best friend, in the 1990’s, meant using a traditional landline telephone to place a call and hoping that they were available to..
Passé, présent, futur : peut-on encore raconter le futur ?
A l’occasion de ses 10 ans, la Haute école d’art et de design de Genève organisait un étrange colloque convoquant designers, artistes, philosophes, théoriciens, cinéastes… pour tracer des « histoires d’un futur proche ». Une prospective aux frontières de la création et de la science. Parfois ébouriffante, parfois déconcertante. Retour sur une sélection de ces… narrations d’un futur qui est déjà là.
Qu’est-ce que le passé nous apprend sur le futur ? En quoi le futur nous confronte-t-il au passé ? Peut-on se situer quelque part sur la ligne du temps, entre le rewind et le forward, entre rembobiner et l’avance rapide ?
Avant, arrière C’est la question que posait l’architecte et théoricien Mark Wigley, co-auteur du livre et de l’exposition « Sommes-nous humains ? » (ainsi que d’un autre livre à paraître sur le sujet : Superhumanity). « Le design est une projection. Comme une pierre qu’on lance vers l’avenir. D’où l’importance de discuter, ici notamment, de ce qu’est l’avenir. » Mais, si..
L’autre lancement Android : Pierre Lebeau lance la commercialisation de Keecker
Fort d'une campagne réussie sur Kickstarter, Pierre Lebeau, un ex Googler lance aujourd'hui son robot familial Keecker.
Keecker est un robot multimédia à commandes vocales, qui évolue de manière autonome dans son environnement pour offrir une nouvelle dimension au partage du divertissement. Concentré d’innovations au design techno organique, Keecker est le premier produit high-tech haut de gamme fédérant l’ensemble des usages multimédia à destination de la maison ou du bureau. Il projette du mur au plafond et diffuse du son en intérieur comme en extérieur, avec une définition remarquable et un rendu haute-fidélité.
Il se déplace d’une pièce à l’autre sur simple commande vocale ou via un smartphone et se recharge par lui-même, le moment venu. Il évitera même le sac d’ado négligemment jeté dans l’entrée… Un et multiple à la fois : il réinvente l’expérience du multimédia en offrant la possibilité de sortir d’une poche ou d’un écran ses contenus pour les partager en grand forma..
La big Interviuz : Erik-Marie Bion (Oath) : un humain au pays du digital
Pepsi, Sony, Voyages Sncf, Expedia, Lycos, Hi-Media, Microsoft, Erik-Marie Bion affiche l’un des plus beau CV du digital Français.
Aujourd’hui Directeur Général d’Oath France, Erik-Marie , 45 ans, a accepté de se soumettre à la Big Interviuz.
Viuz : Votre première émotion digitale ?
Erik-Marie Bion : La découverte de l’Apple IIe à 13 ans sur lequel j’ai programmé plus tard un jeu d’aventure de style Mystery House.
Viuz : Hormis Oath, la société Tech que vous admirez le plus ?
Erik-Marie Bion : C’est Criteo dont je suis très admiratif. Une société française en croissance avec une taille et une valorisation en croissance. Une vraie société internationale et auto suffisante qui plus est.
Viuz : Ce qui vous plaît le plus dans le digital ?
Erik-Marie Bion : Les changements d’usage au quotidien dans nos interactions entre nous et que j’observe chaque jour chez mes enfants. La liberté et la construction.
Viuz : Ce qui vous plaît le moins dans le digital ?
Erik-Marie Bion : Les leader..
De la qualité des données ou le désastre des bases produit.
L’utilisation de bases de données en entreprise est aussi vieille que l’informatique, par contre la destination et l’usage de ces données change ce qui force les entreprises à faire face à leurs négligences.
L’intérêt premier d’une base de donnée est le stockage et la facilité d’accès aux données. Nul besoin de démontrer comment, par exemple, une base de donnée produit est infiniment plus efficace à manipuler qu’un catalogue papier de milliers de références, chacune disponible en de multiples versions ou comment un annuaire d’entreprise vaut mieux que l’annuaire papier rarement exhaustif et à jour qu’il a remplacé.
La fin de l’autoconsommation des bases de données Mais pendant longtemps les données ont largement été autoconsommées. Comprenez qu’elles avaient vocation être utilisées par ceux qui les renseignaient. Leur qualité dépendant donc principalement de la capacité d’une personne à connaitre suffisamment son sujet pour se satisfaire de données imparfaites ou inexactes.
Quand ce..
Machine age: robots in disguise and the season’s hottest trends in our Style Special, out now
One of the reasons that the Japanese have led the charge in robot development and adoption is that there is no modern Promethean myth in Japanese culture, no Frankenstein’s monster (that, and an ageing population who require robo-care).
In the West, we still suspect that generating electro-charged life is against nature and will create existential threat; that, Terminator-like, the robot legions will eventually turn against us and pull the plug on their masters. More immediately, we worry that they will take our jobs.
This summer I attended the Norman Foster Foundation’s inaugural ‘Future is Now’ conference in Madrid, joining the likes of Marc Newson, Patricia Urquiola, Jonathan Ive, Alejandro Aravena, Michael Bloomberg, Maya Lin and more. The Stanford-based historian Niall Ferguson saw trouble ahead, warning of a push back against disruptive technological change (his transport to the conference, a Tesla, had been pelted with eggs by anti-Uber demonstrators, so perhaps he was more th..